Le collectif Nature Artificielle est né d’un excès de zèle suite à une commande de sieste musicale par Radio Campus. Au lieu d’un « live » promotionnel de la compilation auto-produite éponyme, les amis proposèrent à une installation in-situ au campus de la faculté d’Orléans.
Puis vint l’été et ses festivals. Les sélénites invitèrent le collectif a exposer en plein champs et à actualiser le travail présenté dans le décor de béton de B8.
La collaboration avec Alain Hatton poussa les Naturartificiels à sonoriser l’exposition « Carnaval ». détecteurs de présences , déclenchements de sons, de chants, de poèmes, de mises en scène. la visite devient aussi visuelle que sonore.
En 2OO8, de nouveau l’appel de la chaleur, de la poussière et du punk à chien emmène le collectif à participer le festival Arcadia
Suite à l’installation Anton Mobin du collectif HAK a réalisé un reportage comme il en a le secret.
HAK n°179 est né en avril 2009. Une pochette de Yannis Bellair et pppc Corp a partir de photos de Anton et pppc Corp
Ecoute
Et c’est en mai 2009, à l’appel des rencontres Musicales Électroacoustiques, que le collectif dépoussière son stock pour l’installer à Chartres… (photos de YB)
RME/2009
C’est en mai 2009, et à Chartres que le collectif pose une version poussée du cercle vicieux. Les patches de Bidules sont entrés dans la création , un cercle de totem d’enceinte a pris place dans le hall du centre culturel et les invités issus de la scène concrète sont invités à jouer live… (photos de YB)
L’été se terminant, les compères durent construire une cabane pour l’hiver.
, rien de mieux que quelques coupoles géodésiques.
Le collectif se retrouve au complet dans la campagne vierzonaise et présente aux wawashs venus en nombre une déclinaison du cercle vicieux, deux coupoles géodésiques en bambous, une nouvelle technique de spatialisation du son, et avec l’ami Baudu, un contrôle électronique des lumières.
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